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Être vivant, méditer, créer

Philippe Filliot

 

Dans ce texte, outil de réflexion et de pratique concrète, Philippe Filliot montre comment méditer est un processus permanent de création qui se fait en soi-même, d’instant en instant. L’expérience méditative est ici envisagée essentiellement comme une source vitale et cachée de la création, quelles que soient les formes prises ensuite dans la richesse infinie du monde phénoménal. Alors, la méditation devient un “art”, entendu dans un champ élargi à l’existence entière. La personne qui médite, par la qualité même de son attention, est capable de transfigurer tout ce qui est en une œuvre incarnée, unique, extraordinaire.

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La Peau et le Toucher. Un premier langage

Ashley Montagu

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L'importance du toucher transparaît dans nos expressions : "toucher du doigt", "toucher juste", "avoir la peau dure", "être à fleur de peau", "caresser dans le sens du poil", "être à vif"...

La peau est le premier né de nos organes et  le plus important, après le cerveau. D’ailleurs, le sens du toucher est le premier à se développer chez l’homme.

Les stimuli tactiles précoces jouent un rôle primordial pour le développement du mammifère : « lancer » le fonctionnement général des autres fonctions vitales. 

L'auteur décrit les multiples et fabuleuses capacités de la peau dans la captation des messages, et montre qu’un besoin de toucher plus ou moins satisfait durant l’enfance précoce peut avoir des conséquences à long terme dans notre vie d’adulte.

Le contact à une importance vitale a tout âge.

Cela résonne avec la possibilité d'un travail autour du toucher en Gestalt.

Revues

Pour en savoir davantage sur la Gestalt et les problématiques abordées en thérapie : 

La revue Gestalt

Les cahiers de gestalt thérapie

Art

Les Nymphéas de Claude Monet

Art_ressources_psychologue

https://www.musee-orangerie.fr/fr/collection/les-nympheas-de-claude-monet

Selon les termes mêmes du peintre, la réalisation monumentale du musée donne « l’illusion d’un tout sans fin, d’une onde sans horizon et sans rivage », grâce aux peintures qui entourent complètement le spectateur sur près de cent mètres, l’immergeant dans un paysage d’eau et disposées de manière à rappeler le cycle de la lumière d’une journée. Les huit compositions du peintre impressionniste sont réparties en deux salles ovales qui se suivent, évoquant le signe de l’infini, et bénéficient d’une lumière naturelle qui jaillit depuis le toit vitré. Une invitation à se contacter en lien avec son environnement.

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